Ces messieurs viennent de recevoir une bien curieuse "livraison". Il s'agit d'une femme rencontrée sur un site de rencontre avec arrangement. Son mari la met à disposition d'autres hommes, à conditions que ceux-ci la torturent un peu et prennent des photos de la séance. En voici une, c'est la toute première. Ils sont en train de "vérifier le matériel" comme ils disent. On constate qu'elle est très sage, parfaitement soumise, conforme à ce qu'indiquait la "fiche produit". Il vont s'en donner à cœur joie les deux vieux dégueulasses !
Une simple paire de fesse laisse parfois songer... Méditer même... Tenez, on peut se demander ce que ce cul fait ici. Pourquoi cette sangle ? S'agit-il d'une connaissance du (ou de la) tortionnaire ? Ou est-ce une inconnue qui a bien voulu se prêter au jeu ? Dans ce cas, les choses se sont-elles déroulées par internet ? Ou bien une rencontre dans la rue ? Allez savoir... Ce sont là autant de paramètres et de circonstances auxquels nous pourrions tous être soumis dans notre propre vie sexuelle. N'est-ce pas ?
Cette chatte bien ouverte, bien disposée à être pénétrée par tout ce qui passera dans le coin, appartient à une nymphomane de très haut vol et qui aime à changer de partenaire tous les jours. La voici dans une petite chambre d'hôtel, allongée sur le lit, les jambes écartées, en attendant un homme rencontré il y a moins d'un heure sur internet et qui doit venir lui éclater le sexe. Ils se sont entendus pour une relation bien violente, sans tendresse, et qui fera de cette salope une charpie.
C'est là une admirable mise en scène qui exciterait la personne la plus réfractaire au porno SM ! Cette vieille salope s'est laissée suspendre au plafond de sa dominatrice, et pour éprouver la résistance de ses lèvres, cette dernière lui a accroché un saut au vagin. Ce doit être extrêmement douloureux, mais la soumise ne se plaint pas, et nous remarquerons qu'elle n'esquisse même pas une grimace. Quel pouvoir que celui de la maîtresse, le genre de blondasse sans pitié que l'on aimerait rencontrer.
